Le mercredi 2 octobre 2024

L'ENSEIGNEMENT FRANCAIS VIT SES DERNIERES HEURES - PROTEGEONS NOS ENFANTS ! Partie I

"Le Rwanda est une ville !" ; Douleur s'écrit doulHeur ; Il n'y a pas de "e" au participe passé de : "la poudre qu'ils ont utilisée" ; "Je vous le fais gratuitement " qui devient "je veux le fais gratuitement"..... voici quelques-unes des perles du professeur de français, marocain, de mes enfants qui étaient en classe de 4ème, dans un collège public !!

Sans oublier les " j'en ai rien à foutre de tes excuses" ou " tu te fous de ma gueule", les " je me passe de tes commentaires verbal "ou encore " le stylo à Pierre".....!!!

L'école française, qu'elle soit publique ou privée sous contrat, s'effondre littéralement sous le poids de l'incompétence, de la violence, de l'islamisation et de la doctrine woke et lgbt...bref, de cette politisation à outrance de ce sanctuaire qui devrait rester vierge de toute influence extérieure.

Le manque de moyen est souvent invoqué en justification, depuis des années, sans que rien ne soit réglé, bien au contraire !

Les gouvernements successifs n'ont fait, comme toujours et dans tous les domaines, que traiter les symptômes mais jamais les causes. En l'occurrence, le naufrage de l'école relève de la soumission aux différentes idéologies et à leurs conséquences. Si cette " maladie" n'est pas prise en considération et traitée comme il se doit, la situation, déjà bien fragile, empirera jusqu'à la chute totale et définitive de ce qui faisait la fierté de Jules Ferry pour le public et l'excellence pour le privé.

Le privé sous contrat et le public sont les 2 faces d'une même pièce jetée en pâture à la déconstruction globale menée par Monsieur Macron.

Monsieur Attal a eu beau la lancer en l'air, il n'a gagné aucun pari sur l'avenir, bien au contraire, les failles sont béantes et ne se refermeront qu'à la condition de tout renverser.

L'arbre de la laïcité est attaqué frontalement par la mouche salafiste tandis que la croix du privé se courbe en soumission pour accueillir, bravement ou benoîtement, toutes les religions en son sein.

Il convient de détailler les "pathologies" rencontrées par ces deux secteurs, qui commencent à se rejoindre sous les coups de boutoir de l'islamisme mais gardent cependant quelques différences.

 - L'islam, le maître mot de nos maux !

Dans le Public :

L'offensive islamiste, d'insidieuse, se fait de plus en plus pressante, ouverte et assumée.

La laïcité est devenue la bête à abattre. Elle ne cesse d'être combattue et bafouée mais derrière elle, c'est la France, nos valeurs, nos mœurs et notre culture qui sont visées à des fins d'anéantissement et de remplacement ! Il suffit de prendre les derniers sondages sur le sujet pour constater l'évolution rapide, chez les jeunes, de cette idéologie mortifère qu'ils essaient par tous les moyens de nous imposer. (Sondage IFOP pour Charlie Hebdo du 2 septembre 2020 : 74% des Français musulmans de moins de 25 ans font passer l'islam avant la République - Sondage IFOP pour le JDD du 30/01/2024 : 46% des jeunes musulmans qui vivent en France, souhaitent devenir, un jour, majoritaires!). On constate d'ailleurs, phénomène inquiétant, que dans le Loiret, certains collèges voient leur effectif baisser de 90% au moment des fêtes musulmanes ! De même, quelques lycées commencent à constater du communautarisme également chez les enseignants musulmans, excluant les kouffars de leurs échanges !

Le mur d'enceinte, pour le moment, tient encore mais pour combien de temps ? L'école publique est assiégée de toutes parts. 

Pire, les événements de ces derniers mois nous prouvent que l'islamisme tente, par la terreur, les meurtres, les agressions et les menaces, de faire rentrer "leurs brebis égarées" dans le rang de la Charia dont le bras armé, comme en Iran ou en Afghanistan, est la police des moeurs !! La méthode est bien éculée : ils terrorisent les leurs afin de s'assurer que personne ne bougera quand ils s'en prendront à tout le monde de manière généralisée.

Un nouveau palier est franchi dans la totale indifférence de nos dirigeants.

L'islamisme est en train de gagner la bataille de l'enseignement. Les vocations, déjà bien faibles, vont finir par se tarir totalement. Un désaccord, et la menace tombe. La cible toujours plus pressante, plus mortifère engendrant la peur irrépressible de la part des proviseurs, des enseignants, des élèves et même des parents. Mais pourquoi ? Pourquoi gagnent-ils à chaque fois ? Parce que la peur, le déni ou la soumission balayent tout ! Parce qu'un élève ne sera pas écouté par son professeur, qu'un parent ou qu'un enseignant ne sera pas entendu par le Proviseur et que le Rectorat restera sourd aux suppliques d'un directeur d'établissement. L'islamisme a déjà frappé avec la mort de Samuel Paty et Dominique Bernard. Les choses ont-elles changé pour autant ?

Mais tout en haut de cette pyramide de la lâcheté ou de la complicité se trouve notre " trop cher" Président de la République ! Le règlement de cette situation impérieuse nécessite de la volonté et du courage. Or, monsieur Macron n'a ni l'un, ni l'autre. Pire, on peut, à bon droit, se poser la question de savoir si, finalement, l'effondrement de l'école ne fait pas partie intégrante de sa stratégie scabreuse de destruction de la France !

Les professeurs français n'en peuvent plus de subir insultes, menaces et agressions de la part d'élèves issus de l'immigration pour, qui plus est, un salaire peu attractif. Nombre d'entre eux s'auto-censurent, préférant cacher des pans entiers de l'histoire, ignorer les cours sur la reproduction ou éviter les leçons sur la liberté d'expression plutôt que de risquer la sentence implacable de ces jeunes élèves plus prompts à obéir aux lois de la Charia qu'à celles de la République ! On vient encore d'en avoir la preuve avec cette jeune fille voilée qui a frappé un professeur car elle refusait d'enlever son voile dans l'enceinte de l'école.

Conséquence : ils quittent la profession et les étudiants qui auraient, jadis, volontiers embrassé cette vocation, y renoncent par sécurité.

Les gouvernements de messieurs Hollande et Macron ont créé cette situation : par l'augmentation de l'immigration incontrôlée, aujourd'hui, en France, il y a une carence anormale du nombre d'enseignants. Tout est corrélé mais l'Etat préfère le déni à l'action.

A la rentrée 2023, de l'aveu même de monsieur Attal, alors ministre de l'Education Nationale, il manquait 1.300 professeurs dans les écoles, collèges et lycées français. Celui-ci, on s'en souvient, en parallèle, se morfondait du niveau PISA des élèves.

En septembre 2024, on dépasse allègrement les 2.000 !! (Selon Libération du 6/09/2024 et d'après une enquête menée par le Snes-FSU, 1er syndicat du second degré, il manque 56% de professeurs dans les collèges et lycées !).

Nonobstant le fait que Monsieur Attal avait fait appel, l'an dernier, en catastrophe, à de nombreux professeurs maghrebins ou sub-sahariens pour pallier cette carence ou encore qu'il avait fait abaisser les notes d'admissibilité des candidats enseignants de manière drastique pour alimenter en urgence les collèges et les lycées ( 4/20 en Seine Saint Denis..... 50% de taux de réussite! ).

Par conséquent, nos enfants se retrouvent avoir soit des professeurs, notamment de français, étrangers, ne maîtrisant pas les subtilités de la langue française et n'ayant pas le niveau requis en grammaire, conjugaison ou orthographe pour enseigner , soit des enseignants français d'un niveau déplorable ! 

Monsieur Attal, pour boucher les trous, nous a imposé la peste ou le choléra.

Le fait est que la dégradation de l'école court plus rapidement que les cautères placés à la va-vite par l'Etat. Alors on gonfle les effectifs pour masquer l'incompétence et on impose des professeurs au niveau catastrophique à nos enfants pour créer un ersatz d'enseignement !

Les solutions  :

- Tout d'abord, il convient, et ce "remède" sera également repris dans la partie II de cet article, de redonner tout son poids au délit de séjour irrégulier en France en sortant du carcan droits-de-l'hommiste européen nous imposant une simple amende. Ce délit, sans donner de peine de prison qui engorgerait davantage les établissements pénitentiaires, doit être sanctionné par une reconduite immédiate et certaine à la frontière appuyée par tous les moyens potentiels ( fin des visas, transferts d'argent, aide au développement...) vis-à-vis des pays d'origine et ainsi donner l'assurance à tous les clandestins que jamais, ils ne bénéficieront de permis de séjour en France. Cela concerne donc les mineurs non accompagnés qui se retrouvent dans nos écoles, nous coûtent une fortune (50.000 €/pers/an supportés par les Conseils Départementaux) et pour lesquels, d'ailleurs, jamais aucun test osseux systématique n'est exigé.

- Ensuite, deux leviers sur les éléments perturbateurs ou endoctrinés :  Je ne parle pas des amendes qui ne sont, de toute façon, jamais appliquées ! Non, mais il suffirait, à la première incartade, de sortir ces élèves des collèges ou lycées afin de les assigner à un établissement dédié sous forme de pensionnat, pourquoi pas, semi-militaire ( les lieux désaffectés ne manquent pas), ce qui permettrait, en plus de l'inculcation du respect, une réinitialisation des notions de patriotisme et de Nation. Recadrage, éducation surveillée puis, remise à niveau. Ces cas de plus en plus fréquents nécessitent une " rééducation" avant une instruction. Les familles qui ont failli dans leur éducation ou qui ont la volonté de sortir du cadre républicain, ne peuvent imposer aux autres leur défaillance ou leur nuisance ! Au premier écart, à la première attaque contre la laïcité, la sanction doit tomber sans avoir la main qui tremble. 2ème levier : agir sur les aides sociales versées aux familles. Elles doivent représenter un contrat moral avec l'Etat. Nous n'avons plus les moyens de l'Etat Providence. Aujourd'hui c'est du donnant/donnant. On vous donne contre engagements. Vous ne les respectez pas, on vous reprend. C'est simple, honnête vis à vis de ceux qui permettent cette redistribution et efficace. L'exemple, le bon comme le mauvais, est contagieux. Il faut donc inverser la spirale : la fermeté envers quelques-uns engendrera rapidement le respect de la part de tous.

- Il faut également revaloriser la profession sur le modèle de nos voisins européens : selon les chiffres de l'OCDE, en 2018, le salaire moyen d'un enseignant allemand après 15 ans d'exercice s'élève à plus de 65.000 € annuels contre moins de 35.000 € en France avec, cependant, une différence du nombre d'heures plus important en Allemagne. L'écart est conséquent mais permet une large marge de manœuvre.

- Puis, avec la sécurité retrouvée et un salaire correct, la filière enseignante redeviendra attractive. Il faudra donc remonter le niveau d'exigence du CAPES afin de redonner le goût de l'excellence à nos professeurs. En attendant de restaurer les effectifs déficients, il faudra, comme le préconise d'ailleurs, Mr Barnier, faire appel à des professeurs retraités volontaires et bien formés plutôt qu'étrangers, sous-qualifiés et idéologisés.

- Enfin, je pourrais rajouter l'interdiction de la double-nationalité pour toute la fonction publique ce qui chasserait l'idéologie islamique, qui ne va pas manquer d'évoluer chez les professeurs ( cf Didier Lemaire Cnews 9/10/2024), de nos écoles et éviterait l'ingérence d'autres pays dans nos programmes. 

Autorité, respect, excellence.... des mots simples mais des mots absents de la logique macronienne.

Dans le Privé Catholique sous contrat 

Le Privé reste, pour le moment, épargné en ce qui concerne la qualité de l'enseignement. Seulement, ses places sont limitées et les admissions s'effectuent sur sélection.

En revanche, l'islamisation rampante y a fait passer le fameux " vivre ensemble" en acceptation d'un changement idéologico-culturel volontaire pour les uns et calculé par les autres.

Il y a un an, j'ai publié un tract qui dénonçait la soumission du privé catholique à l'islam. En effet, depuis 2011, à la demande des évêques de France, le Secrétariat National de l'Enseignement Catholique a établi un guide à l'attention de tous les chefs d'établissement, intitulé " Musulmans en Ecole Catholique".

Cette confession, si on en croit la demande des évêques, posant différents problèmes d'intégration, a nécessité l'édition d'un guide qui n'existe pas pour les autres religions.

Ainsi, on y apprend, au travers de fiches de situation, que pour le règlement de conflits comme le halal, la demande de salles de prières ou encore le refus de répondre à un professeur de sexe féminin, les chefs d'établissements sont tenus de rechercher la compromission, lisez la soumission, et qu'en cas de dissensions plus importantes, il est vivement recommandé de faire appel à un médiateur musulman.

Il faut savoir, en revanche, que pour les cas de harcèlement non traités par l'école, lorsqu'un parent fait appel au référent harcèlement de l'Education Nationale, ce dernier, étant considéré comme extérieur à l'école, n'a aucun pouvoir si celle-ci lui refuse l'entrée de l'établissement ou même la moindre réponse à ses courriers. Mais, pour les musulmans, aucun problème, l'école catholique peut et doit faire entrer un médiateur extérieur !!

La servilité est telle, qu'autorisation est donnée aux jeunes filles, de venir en cours enveloppées de toutes leurs volutes de soumission et d'asservissement politico-religieux !! Incroyable !

On peut d'ailleurs, légitimement, se poser la question sur le bon sens (ou l'idéologie?) des rectorats qui vont sanctionner un chef d'établissement catholique à Pau de 3 ans de suspension pour avoir prodigué des cours de catéchisme et d'instruction religieuse- c'est un comble ! - mais qui détournent le regard tandis qu'ils ont connaissance de la présence d'élèves en jilbab dans maints établissements !! Certains syndicats de professeurs préfèrent s'acharner sur le "trop plein" de catholicisme, à leurs yeux, dans les écoles catholiques plutôt que d'affronter l'islamisme qui gangrène l'ensemble de l'enseignement. La laïcité à géométrie variable. Tellement ironique, tellement plus facile mais tellement lâche !

Cette ouverture des établissements catholiques aux autres, les musulmans en ont bien compris l'opportunité et se sont engouffrés dans la brèche : le % d'élèves de cette confession ne cesse d'augmenter dans le privé catholique jusqu'à atteindre 100% dans certaines écoles marseillaises ! (Libération- 4/10/2010 : "Musulmans à l'école c'est pas catho" - Marianne - 3/05/2023 : " L'école privée catho marche sur des œufs avec les élèves musulmans"). 

Soumission ou complicité des hautes instances de l'enseignement catholique ? La question se pose.

Les solutions :

- Le contrat par lequel sont liés les établissements catholiques à l'Etat, les oblige et doit les engager à être transparents sur le harcèlement. L'Etat doit imposer un droit de regard sur ces problèmes et leur gestion. Le référent harcèlement doit pouvoir obtenir les réponses à ses questions, intervenir dans l'établissement au besoin, afin de soulager les familles en souffrance. L'omerta ne doit plus être l'apanage de l'enseignement privé ! 

- Si un syndicat de professeurs peut dénoncer une atteinte à la laïcité dans un lycée catholique en ce qu'il serait "trop" catholique, que ne dénonce-t-il les tenues religieuses des musulmanes ? Ainsi et il est déplorable d'en arriver à ces extrémités pour protéger nos enfants, en attendant que le voile soit interdit dans tout l'espace public, il faut que la Loi de 2004 sur l'interdiction du port du voile à l'école, n'en déplaise aux évêques, s'applique également dans le privé catholique sous contrat. On ne peut comparer une croix avec un jilbab ! Il faut sortir de cette manipulation des islamistes, favorisée par la gauche depuis des années, qui consiste à se servir de nos libertés pour les retourner contre nous afin d'imposer leur objectif mortifère!

                                             _________________________________________________

Il n'est plus temps de tergiverser. Il est vital d'enrayer cette montée de la violence, de la haine et de l'islamisation de nos écoles, collèges et lycées privés ou publics, en prenant le problème à bras le corps ! Mme Genetet, pensez-vous vraiment que le but sera atteint avec des cours d'empathie ?!

La sécurité de nos enfants est en jeu ! Il est urgent que les politiques soient à la hauteur de la tâche et cessent leurs atermoiements. Qu'ils exposent enfin la masculinité de leurs gonades et passent rapidement au "faire" plutôt qu'au "dire" !!

                                    _______________________________________________________________

Nota Bene : Monsieur Macron, en interdisant toute discussion ou moment de recueillement dans les écoles, collèges et lycées publics en mémoire du progrom du 7 octobre en Israël, vient de donner une preuve supplémentaire de la soumission de l'Etat à l'islam. On peut donc d'ores et déjà estimer que la Charia s'applique en France.


Isabelle LAMARQUE Déléguée Départementale du Loiret - Responsable Parents Vigilants Loiret : Joëlle THOMAS