L'ENSEIGNEMENT FRANCAIS VIT SES DERNIERES HEURES - PROTEGEONS NOS ENFANTS ! Partie II
- La Crise Economique et Migratoire : Catastrophe Publique !
Cette année, comme si cette dégradation ne suffisait pas, la crise économique sans précédent que traverse la France - doublée d'une crise migratoire submersive - vient se rajouter à l'édifice déjà bien branlant.
Ainsi on apprend que dans certains collèges publics les voyages de classe seront supprimés car " les caisses des Conseils Départementaux sont vides" ! Le Conseil Départemental des Yvelines vient d'ailleurs de supprimer sa subvention aux transports scolaires afin de pouvoir continuer à payer le RSA, allocation que tout étranger qui a un titre de séjour d'au moins 5 ans ( sauf pour les Algériens...merci les accords de 68 !), peut toucher !!
Donc, en faisant un raccourci, je vous l'accorde, mais dans les Yvelines le nombre de cas doit être élevé, on privilégie les étrangers qui ne travaillent pas, à nos enfants.... cqfd !
Concernant le privé, pas encore de problèmes de ce côté. Je soulignerais simplement que les tarifs sont calculés en fonction du revenu fiscal de référence des familles. Aussi, comme pour nos libertés qu'ils retournent contre nous, les familles catholiques se retrouvent, bien souvent, à payer pour des familles musulmanes radicalisées !
Encore plus sidérant : les filières professionnelles sont les enfants pauvres de l'Education Nationale. La déconsidération de cette filière vient du fait qu'elle a depuis longtemps été envisagée comme la voie de garage des élèves médiocres alors qu'il faudrait, au contraire, en valoriser la passion par la transmission du savoir-faire français. Les places disponibles dans le privé sont limitées et ne sont plus compensées par celles du public.
En effet, les financements par les collectivités locales se tarissent et on assiste, à l'heure où il faudrait mettre le paquet sur l'apprentissage pour éviter les travailleurs clandestins, souvent sous-qualifiés d'ailleurs, à de plus en plus de fermetures de classes ou demi-classes, (exemple, le Lycée Professionnel de Pithiviers) ! Ainsi, de moins en moins de places sont disponibles et les élèves de 3ème qui souhaitent aller en filière professionnelle, ne trouvant pas de lycées disponibles, se voient, aussi incroyable que ça puisse paraître, dans l'obligation de... redoubler !!
Ce cercle vicieux infernal participe, de facto, au déséquilibre des classes de 3ème par leur surcharge tout en provoquant une injustice chez les élèves qui voient leur avenir remis en cause par un redoublement arbitraire, imposé par la faute de nos gouvernants !
Dans le Loiret, on parle de près de 2.000 élèves qui seraient dans ce cas. Les chiffres sont difficiles à obtenir tant l'omerta pèse sur cette défaillance de l'Etat ( une de plus !). Les redoublements imposés ne faisant que repousser le problème étant donné que l'année suivante, ce seront les nouveaux 3èmes qui se verront perdre une année.
L'artisanat français, associé à ces filières, qui faisait notre fierté par son savoir-faire, est également en train de dépérir. De moins en moins d'apprentis de moins en moins bien formés, de plus en plus de travailleurs étrangers peu qualifiés.
En effet, l'apprentissage, comme l'agriculture, n'échappe pas aux normes ! Encore elles ! Toujours et partout !! Les maîtres d'apprentissage sont tenus à tellement de conditions drastiques de sécurité que bien souvent ils préfèrent ne plus prendre d'apprentis, ce qui pose un vrai problème de formation et de qualité du savoir-faire transmis. Par exemple, un apprenti-peintre en bâtiment, ne pourra peindre en hauteur car il lui est interdit de monter sur un escabeau ! Ou encore, un apprenti-électricien n'a pas le droit de s'approcher à moins de 2m d'un tableau électrique ! Vous lisez bien ! Ainsi, dans certaines professions, les apprentis voient leur instruction professionnelle se limiter à transporter les outils ou autres bouteilles d'eau !! On marche sur la tête !
Avec ce piteux constat, nous sommes en droit de nous demander où va l'argent ??!! Nous sommes le pays le plus taxé au monde mais avons en parallèle, des services publics défaillants ! Nombre d'entre eux ont même disparu de nos villages alors même que pour beaucoup, leur population augmente. La désertification ne peut donc être la seule justification. Jusque dans les années 70/80, les villages bénéficiaient d'une poste, d'une ou 2 écoles ainsi que parfois même, d'une gendarmerie ou d'une gare. Aujourd'hui, en dépit d'une augmentation colossale de nos impôts, les services publics que l'on serait en droit d'attendre en retour, se dégradent ou disparaissent ! Les seuls qui ne connaissent pas ce sort étant Pôle Emploi ( France Travail.... comme si en changeant le nom, on règle les problèmes), et la CAF !!
Quelques pistes de dépenses se dessinent au niveau des collectivités locales révélant l'impact de la crise économique et migratoire que la France subit de plein fouet, au détriment de nos collèges et lycées.
Les Conseils Départementaux, en sus du paiement du RSA aux étrangers, sont saturés par la prise en charge des MNA (mineurs non accompagnés) dont le budget national est estimé à plus de 2 milliards !! En effet, ils doivent assurer leur logement, leur santé, leur éducation et même, leurs loisirs !, cela, sans autre forme de contrôle de leur minorité réelle que le "sentiment" d'un "évaluateur" de l'ASE (aide sociale à l'enfance), après entretiens !! Ces mineurs en plus d'être totalement pris en charge par la générosité française, viennent s'ajouter aux effectifs d'élèves des collèges et lycées. Sachez de plus, que les mineurs étrangers ne sont pas dans l'obligation de posséder un titre de séjour pour vivre en France ( art L411-1 du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile - CESEDA ) et qu'au titre de l'art 2 de la CIDE (Convention Internationale des Droits de l'Enfant) sur la non-discrimination, ils ont les mêmes droits que les mineurs de nationalité française !! Enfin, pour parfaire ce tableau idyllique, un mineur non accompagné de moins de 15 ans pris en charge par l'ASE, acquerra automatiquement la nationalité française à sa majorité ! Il est certain que les associations immigrationnistes ne manquent pas de les en informer précisément. Pouvons-nous loger, soigner, instruire et divertir les mineurs du monde entier ??!! Les enfants de nos territoires ruraux ont-ils, eux, accès aux mêmes avantages ? Enfin, pour finir, les majeurs sortis de la procédure de l'ASE, deviennent prioritaires pour obtenir un logement social !
Le Conseil Régional du Centre Val de Loire quant à lui, outre le fait qu'il entretient les associations immigrationnistes comme SOS Méditerranée et Viltaïs par le versement annuel de subventions, préfère dilapider l'argent des Français en projets écologiques divers et variés mais surtout inutiles dans une région bénéficiant de 12 réacteurs nucléaires produisant plus de 4 fois sa consommation électrique, plutôt que de garantir aux élèves une formation professionnelle ou générale de qualité par des investissements autant nécessaires qu'indispensables.
Ce dernier a mis en place depuis plusieurs années, un dispositif d'investissement réciproque. En effet, pour 1€ citoyen investi dans un projet écologique, la Région investit le même montant avec un plafond de 100.000 € / projet. Le nombre de projets portés ainsi par les contribuables régionaux, n'est malheureusement, pas consultable. Ainsi, les éoliennes et autres méthanisation dont la nécessité est très discutable pour un pays qui a l'énergie nucléaire et hydroélectrique en quantité suffisante, passent avant la formation de nos enfants !!
Il y a également les très généreux et très nombreux dispositifs d'aides aux familles : l'ARS ou allocation de rentrée scolaire ( crée en 1974 : 455 € / enfant de 6 à 18 ans), à la rentrée 2024, 3 millions de familles étaient concernées - selon le site officiel de l'administration française- faites le calcul !, la Bourse de Lycée (pouvant aller jusqu'à 334 € /mois), les Fonds Sociaux (dont la cantine), La Bourse de Merite si un élève a une mention "bien" ou "très bien" au Brevet ( crée par le gouvernement Jospin en 1998 : allant également jusqu'à 334 € / mois jusqu'au BAC ou au CAP) et enfin, le PassSport (crée par Emmanuel Macron grâce à son "argent magique": 50 €/an pour les enfants et les jeunes de 6 à 30 ans ! 2024 cela représentait près de 70 millions d'euros - cf Ministère des Sports). J'en oublie certainement. C'est énorme ! Versées en fonction des revenus, soit par la CAF ou les Rectorats, toutes ces aides sont, bien sûr, cumulables.
Les solutions :
- Avant toute chose, modifier l'art 55 de la Constitution afin de changer la hiérarchie des normes et que l'autorité des lois postérieures aux traités leur soit supérieure. Cela nous permettra ainsi de récupérer notre souveraineté et de nous libérer du carcan droit-de-l'hommiste de Bruxelles et de la CEDH ( Cour Européenne des Droits de L'Homme).
- Régler le problème des MNA et mettre fin à ce dispositif qui nous coûte une fortune en plus d'arracher ces enfants à leur famille. Il faut, contrairement à l'idéologie actuelle et au risque de faire hurler dans les chaumières, les considérer, avant tout, comme des étrangers qui ne peuvent bénéficier de tous les droits et aides dont nos propres enfants sont privés ! Ils sont clandestins et doivent être traités comme tels : aucune régularisation possible (rétablissement du délit de clandestinité avec renvoi immédiat). Le système ASE / Départements est complètement engorgé par les vagues successives de MNA qui se déversent dans notre pays (+ de 55.000 depuis 2020 dont près de 20.000 rien qu'en 2023 - chiffres du Ministère de la Justice, venant principalement d'Afrique du nord et subsaharienne). La France n'a pas vocation à régler les problèmes de la terre entière ! Sans oublier qu'à leur majorité, la plupart s'évaporent dans la nature sans aucun suivi et on les retrouve, bien souvent, captés par les narcotrafiquants. Pour ceux d'entre eux qui solliciteraient l'asile, la demande de celui-ci doit être faite dans le pays d'origine avec test osseux systématique. Aujourd'hui ces tests ne s'effectuent que sur décision judiciaire, le principe étant que le doute profite au "mineur". Si l'asile est accordé mais qu'ils commettent un délit ou un crime, retour dans leur pays d'origine. Une application ferme de cette politique freinera les velléités des candidats au départ.
- Comme pour les agriculteurs, il faut libérer les artisans des normes européennes ineptes et de la sur-transposition française qui les paralysent et freinent la transmission du savoir-faire, ainsi que revaloriser la filière professionnelle en promouvant son excellence.
- Revenir sur la " Loi immigration" et supprimer la régularisation des 15.000 travailleurs clandestins/an qui, outre le fait que cela engendre 50.000 personnes supplémentaires /an sur notre sol via le rapprochement familial, représente une main d'oeuvre sous-payée et déloyale.
- La réforme de Monsieur Macron visant la "ré-adéquation" de la formation professionnelle en fonction des territoires ne marche pas. L'offre et la demande ne se situent pas uniquement sur le type d'emploi en fonction de telle zone géographique mais surtout sur les salaires. Il faut donc, à l'inverse, rendre ceux-ci attractifs. Le seul moyen de le faire sans impacter les artisans et les PME, est de baisser les charges salariales et patronales puis de répercuter cette baisse sur les salaires nets. Il n'est pas étonnant de voir les entreprises françaises faire appel aux travailleurs détachés quand on compare les charges salariales de l'Espagne ( 4%) à celles de la France ( 23%) !! Il faut donc réduire les ponctions qui servent à entretenir l'immigration afin de favoriser le pouvoir d'achat des salariés par l'augmentation significative de leurs revenus. Tout le monde sera gagnant : les artisans et PME qui trouveront de la main d'oeuvre qualifiée et les jeunes qui trouveront un attrait dans une formation professionnelle valorisante. Au niveau européen, il faut rééquilibrer et lisser les charges sociales des différents pays de la zone ou stopper les travailleurs détachés qui représentent une concurrence déloyale envers les Français.
- J'ajouterais, même si cela concerne le supérieur, la réduction drastique des visas étudiants. Ils viennent saturer nos universités déjà fébriles et beaucoup d'entre eux ne repartent jamais sans, pour autant, être des valeurs ajoutées pour notre pays, bien au contraire.
- Revoir l'ensemble des aides versées aux familles par un audit indispensable. Mieux les contrôler pour éviter les abus et faire comme pour le reste des allocations sociales, du "donnant/donnant". Les familles ont des droits mais également des devoirs. Les devoirs ne sont pas respectés, les droits ne sont plus appliqués. C'est très simple. De même, pour éviter les dérives concernant l'ARS qui va très souvent se transformer en écran plat et autres électroménagers, il faut la verser directement aux établissements scolaires contre un kit de fournitures et le reste sous forme de bons dédiés aux magasins de vêtements, ou mieux, versée en totalité aux écoles qui fourniront, en sus du matériel, un uniforme.
- Enfin, il faut imposer aux Conseils Départementaux et Régionaux de sanctuariser les budgets destinés à l'enseignement et à la formation professionnelle pour éviter qu'ils ne se fassent capter par la gabegie immigrationniste d'un côté et idéologico-écolo de l'autre. Pour le RSA comme les autres aides non contributives, il est nécessaire de mettre en place la préférence nationale. La France n'a plus les moyens de ses prétentions aujourd'hui. La réalité du terrain vient frapper de plein fouet l'idéologie. L'avenir de nos enfants passe avant celui des étrangers ! Le Conseil Départemental des Yvelines devrait donc envisager de ne pas verser le RSA aux étrangers afin de prioriser le déplacement de nos enfants scolarisés !!
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Faire de la politique c'est faire des choix. Un constat désastreux s'impose à nous : nos politiques n'ont fait que les mauvais depuis des dizaines d'années, au point qu'aujourd'hui, ce sont nos enfants qui en font les frais.
L'école, les collèges et les lycées devraient être la priorité de l'Etat et des collectivités locales. Ils sont le sanctuaire de nos enfants qui représentent notre avenir !
" Chaque enfant qu'on enseigne est un homme qu'on gagne" disait Victor Hugo.
Isabelle LAMARQUE Déléguée Départementale du Loiret - Responsable Parents Vigilants Loiret : Joëlle THOMAS